Ce coup d’arrêt s’explique principalement par la baisse du nombre de transactions. 44 300 logements ont ainsi été vendus en Île-de-France de juin à août, soit une baisse de 2 % par rapport à la même période en 2010. « Le volume de transactions de cette période est inférieur de 7 % à celui de la phase de croissance des marchés immobiliers (1999-2007) où l’on enregistrait en moyenne 47 500 ventes de logements anciens de juin à août », précisent les notaires.
Ce tassement d’activité s’observe dans de nombreux départements franciliens : – 5 % à paris, – 8 % dans les Hauts-de-Seine. A contrario, le nombre de ventes a progressé en Seine-Saint-Denis (+ 9 %) et dans le Val-d’Oise (+ 7 %).