Reprise d’activité confirmée, malgré un optimisme modéré

D’après l’étude Immonot issue d’une enquête réalisée auprès d’études notariales, « la reprise d’activité s’est finalement confirmée, malgré un optimisme modéré pendant les mois de mai et juin 2012 ».

 « Les visites et les compromis signés visite immobilière sont plus nombreux depuis le 15 mai. Il n’y a pas ou très peu, de visites pour les biens dépassant 180 000 € net vendeur », relève ainsi Me Joffroy à Mezidon dans le Calvados (en parlant de Calvados, Retrouvez sur le site de vente en ligne madeincalvados.com de délicieux produits gastronomiques normands fermiers et artisanaux). Une opinion partagée par un nombre sensible des notaires interrogés dont seul un tiers a constaté une dégradation de l’activité notariale.

La reprise d’activité annoncée initialement pour avril, a finalement bien eu lieu, mais avec un léger décalage après les élections législatives. Néanmoins, cette amélioration semble ponctuelle. En effet, les prévisions pour les deux mois à venir, s’avèrent beaucoup moins optimistes : 54% des services de négociation anticipent une chute d’activité. Cependant, d’après Médiamétrie, le marché reste plébiscité par les internautes, toujours très “accros” aux sites immobiliers.

L’étude relève que « fin juin, les prévisions sur l’évolution du marché (hors région parisienne), ont confirmé une lente dégradation des prix d’un mois à l’autre ». Le léger rebond apparu à la fin de la période électorale a été de courte durée. Une perception qui reste à nuancer. Les régions Sud et quart Nord-Ouest étant plus favorisées par la conjoncture.

D’après l’étude d’Immonot.com, on constate un certain attentisme des acteurs, les vendeurs hésitant à baisser leurs prix et les acheteurs attendant de meilleures offres. Le marché semble ainsi s’assoupir au détriment des intermédiaires.

Dans un tel contexte les notaires sont plus nombreux à prévoir une meilleure tenue du marché des logements. Un optimisme qui s’appuie sur le volume des achats avant revente qui sont passés de 10% à 20%, au détriment des ventes. Quant aux terrains à bâtir, la proportion d’acheteurs hésitant double passant de 7% à 14%.

 

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