Les banques françaises améliorent leur note d’image
Les Français ont livré dans le cadre de l’enquête Posternak-Ifop leur impression concernant l’image des banques françaises. À en croire les conclusions de ce sondage initié par l’agence La Matrice, spécialisée dans la communication, les consommateurs ont revu la note de ces entreprises financières à la hausse.
Cela va mieux pour les banques françaises
Les banques françaises voient leur note de crédibilité progresser. Le sondage Posternak-Ifop révèle que les usagers des services bancaires accordent de meilleures notes à leur banque. Ces entreprises doivent cette amélioration de leur notoriété aux investissements qu’elles ont effectués en matière de communication. L’agence La Matrice, de qui l’on tient cette étude, indique que les banquiers, conscients du désintéressement des leurs clients des services proposés ont axé leur stratégie marketing sur la transparence et le raffermissement de leurs rapports avec les usagers.
Des campagnes bénéfiques pour les banques mutualistes
Les effets de ces campagnes de communication à outrance ont été immédiats pour certaines entreprises. Les banques mutualistes se positionnent en tête des institutions qui disposent d’une très bonne image aux yeux de leurs clients. Ces mutuelles véhiculant les valeurs chères au mouvement mutualiste ont su susciter l’intérêt des sociétaires à œuvrer pour le développement de leur propre banque. Trois mutuelles bancaires en l’occurrence le Crédit Mutuelle, la Caisse d’Épargne et BP – Banque Populaire – arrivent même à se positionner dans les le top 10 du classement des meilleures banques françaises publié dans le cadre de cette étude Posternak-Ifop.
Les banques traditionnelles toujours mal vues
Les banques classiques restent toujours à la traîne bien qu’elles enregistrent une amélioration de leur notoriété. Le baromètre édité par La Matrice indique que la Banque Postale est la mieux classée des sociétés bancaires classiques tandis que Société Générale récolte une très mauvaise note d’image et se trouve en queue de peloton. Le patron de l’agence de communication, Claude Posternak explique cette situation par le fait que les banques traditionnelles ont été lourdement touchées par la crise alors que celles-ci héritaient déjà d’une mauvaise crédibilité au niveau des consommateurs non satisfaits de la qualité des services de ces professionnels.