L’action des pouvoirs publics en faveur du logement est jugée insuffisante pour 84 % des Français selon une enquête TNS Sofres sur le logement réalisée dans le cadre de la deuxième édition des États Généraux du Logement.
Le jugement est encore plus sévère chez les 35-49 ans, les moins diplômés et les actifs qui sont respectivement 93 %, 91 %, 88 % à estimer que « les responsables politiques ne s’occupent pas suffisamment des problèmes de logement en France », indique le sondage.
Les français préoccupés par leur logement
Par ailleurs, l’étude montre que le logement demeure une source de préoccupations fortes, les Français, jugeant difficile, non seulement de trouver un logement, mais également de la financer. Ainsi, près d’un Français sur cinq (17 %) éprouve des difficultés à faire face aux dépenses de loyer, remboursement d’emprunt… L’étude révèle également que les trois quart d’entre eux (76 %) estiment consacrer une part « importante » de leurs revenus à ces dépenses. Une opinion partagée par toutes les catégories socio-professionnelles : 92 % des 25-34 ans, 88 % des locataires du privé, 86 % des ouvriers, 85 % des professions intermédiaires, 82 % des locataires HLM, 80 % des employés,74 % des diplômés de l’enseignement supérieur et 73 % des cadres et professions intellectuelles.
Trouver son logement devient de plus en plus difficile
Parallèlement, alors que plus d’un quart des Français souhaiteraient quitter leur logement prochainement, 82 % d’entre eux estime que trouver un bien immobilier est aujourd’hui difficile. Près d’un tiers (29 %) considère même cette entreprise « très difficile ». Un sentiment particulièrement fort chez les franciliens, où le taux monte à 96 % dans le premier cas et 42 % dans le second.
Cette enquête a été réalisée en face-à-face en trois vagues d’avril à mai 2011, à chaque fois auprès d’un échantillon national de 1 000 personnes représentatif de l’ensemble de la population française âgée de 18 ans et plus.
L’appropriation et l’ame9nagement des ruelles de Limoilou est un cceonpt qui date mais qui ne se re9alise que tre8s partiellement. C’est un espace e0 forte valeur, une configuration urbaine rare et malheureusement pas assez mise en valeur (le poids de l’histoire sans doute)Par contre, je ne suis pas convaincu par l’ide9e d’une densification de cet espace. L’ame9nager, oui. Le densifier, pas sfbr.